Chirurgie dentaire : accueil de patients fantômes à l’université de Strasbourg

Le 25 septembre ont débarqué à la faculté de chirurgie dentaire de l’université de Strasbourg (Unistra) quatre nouveaux patients. Sans vie – et même sans corps pour trois d’entre eux – mais pas sans réaction, lorsqu’ils s’installeront sur les fauteuils de la nouvelle unité de simulation clinique et radiologique, inaugurée ce mardi. C’est tout l’intérêt de ce type de robot de simulation interactif : il a tout du vrai patient. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories :  lampe de blanchiment dentaire et blanchiment dentaire. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr  s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.



« Nous souhaitions donner la possibilité aux étudiants d’aborder, lors des deux années précliniques durant lesquelles ils ne touchent pas aux patients, tous les actes qu’ils effectuent ensuite en clinique à partir de la 4e année », résume Corinne Taddei-Gross, doyenne de la faculté de chirurgie dentaire. En clair, former au plus près des conditions réelles, dès la deuxième année d’études, les futurs praticiens à la prise d’empreintes, aux consultations, aux situations de crise.

Les trois mannequins sans corps ont des têtes et des bouches contenant de vraies dents. Ils sont exclusivement destinés à la radiologie. Le « fantôme haute performance », comme l’appelle la doyenne, a, lui, toutes les fonctions physiologiques d’un être humain. Il peut parler, tomber dans les pommes, etc. Allongé sur un fauteuil de cabinet dentaire, ce robot a tout du vrai patient. Il est en mesure d’exposer ses souffrances à ceux qui procèdent au diagnostic.

Derrière une vitre sans tain, un enseignant sera aux commandes du « fantôme » dès le début du deuxième semestre universitaire. Il pourra lui faire simuler une situation de malaise, voire répéter un scénario mal appréhendé lors d’une précédente simulation. Des étudiants situés dans une salle mitoyenne observeront la scène sur écran ou tablette et pourront interagir par le biais de leurs smartphones. 

Si les étudiants de l’Unistra pouvaient déjà se faire la main sur les 135 mannequins de simulation disponibles, « il manquait la possibilité de s’entraîner en radiologie sur des faux patients “en os”, comme s’il s’agissait de vrais patients, expose Corinne Taddei-Gross. Nous ne disposions pas non plus de l’équipement nécessaire pour permettre de reproduire des situations de consultations précliniques sur un patient qui réagit ». 






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