Les dentistes ont une dent contre le gouvernement

Cette semaine, dans la Loire comme un peu partout en France, certains cabinets dentaires relaient l'appel à la grève de deux syndicats. Le Roannais n'est pas épargné par ce mouvement national qui entend protester contre la réforme des tarifs. "Comme de nombreux cabinets dentaires en France, votre cabinet est fermé. Cette action entend protester contre la sécurité sociale et le gouvernement qui veulent rogner sur la qualité de vos soins. Nous nous battons pour la défense de votre santé bucco-dentaire. Nous comptons sur votre compréhension". Quand vous souhaitez savoir beaucoup,vous pouvez chercher plus de Distillateur à eau sur outil dentiste.



A l'image de ce message laissé sur le répondeur d'un cabinet riorgeois, de nombreux professionnels de la Loire ont décidé de pas accueillir leurs patients cette semaine. "Pour une médecine bucco-dentaire moderne, pour valoriser la prévention, pour une meilleure prise en charge des soins, voilà pourquoi je me mobilise", peut-on lire à l'entrée de certains cabinets. Deux syndicats de dentistes ont en effet appelé les professionnels à fermer leurs structures de soins dans le cadre d'une semaine d'action nationale (du 27 novembre au 2 décembre) pour peser sur la négociation tarifaire en cours et pousser le gouvernement à préciser son projet. Le siège opérateur est-il important pour choisir le fauteuil dentaire ?

Cette action vise à "montrer que la profession est toujours mobilisée", après les manifestations des chirurgiens-dentistes en début d'année, a expliqué à l'AFP Philippe Denoyelle, président de l'Union dentaire (UD). Après l'échec des dernières négociations avec l'Assurance maladie en janvier, la réforme des tarifs imposée par le précédent gouvernement avait déclenché un conflit de plusieurs mois. Le nouvel exécutif a repoussé l'entrée en vigueur de la réforme de 2018 à 2019, permettant la reprise de négociations en septembre, mais en y incluant un "reste à charge zéro" promis par Emmanuel Macron et censé s'appliquer à un "panier de soins indispensables".

"On n'est pas contre le principe", a déclaré à l'AFP Catherine Mojaïsky, présidente de la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD), qui redoute toutefois "des baisses drastiques de tarifs sans contrepartie" sur les prothèses et l'orthodontie. Une crainte nourrie par l'absence de précisions sur le contenu du fameux "panier de soins". "On veut aboutir à quelque chose de cohérent, on est prêt à faire des concessions (...) mais qu'on n'aille pas nous imposer des choses qui sont impossibles", a-t-elle dit. 





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