Soins dentaires des jeunes
C’est la première étude menée à partir des données de santé en open data. Elle mesure les habitudes de fréquentation des cabinets de chirurgiens-dentistes et la consommation de soins par les enfants et les adolescents. Dans la région, le recours au dentiste est supérieur à la moyenne nationale, mais encore trop faible avant six ans. L’URPS-chirurgiens-dentistes des Pays de la Loire et l’Observatoire régional de la santé sont à l’origine de cette étude. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories : turbine dentaire et contre-angle dentaire. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.
C’est une enquête sans précédent sur l’accès aux soins dentaires que les chirurgiens-dentistes des Pays de la Loire dévoilent aujourd’hui mercredi 28 novembre. En lien avec l’Observatoire régional de la santé, ils ont exploité les contenus désormais accessibles du Système national des données de santé. Ce dernier regroupe plusieurs grandes bases — Assurance maladie, hôpitaux, CépiDC de l’Inserm sur les causes de décès… — en accès libre mais aux données anonymisées. Celles-ci peuvent être utilisées à des fins de surveillance, mais aussi de recherche et d’évaluation des politiques publiques.
Pour la majorité des jeunes ligériens, le premier recours au dentiste s’effectue à 6 ans avec l’examen du programme M’T dents, (consultation gratuite avec couverture des soins à 100 % si besoin) mis en place par l’assurance maladie et la profession. Cela concerne quatre enfants sur dix contre trois seulement au niveau national. Seulement 18 % des enfants n’ont jamais vu un dentiste avant 7 ans contre 24 % au niveau national. Globalement, le recours à une prestation dentaire chez les 6-18 ans des Pays de la Loire est supérieur à la moyenne nationale. En 2016, six jeunes ligériens sur dix ont été concernés.
Si le suivi préventif est plus régulier et plus développé en Pays de la Loire qu’au niveau national, il présente aussi des particularités. L’étude a ainsi regardé de plus près quelques actes clés comme le scellement de sillons. « Les molaires définitives ont des sillons très anfractueux qui forment la première zone de carie chez les jeunes, explique Benoït Perrier. Lors de l’éruption de la dent, on comble les petits creux avec une résine. » Ce marqueur de prévention ne concerne que 16 % des ligériens de 6 à 9 ans contre 20 % des petits français.
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