Le chirurgien-dentiste: plus qu'une histoire de bouche

Une enquête présentée en marge du congrès annuel de l'Association dentaire française (ADF) montre que plus de 70% des Français cantonnent le chirurgien-dentiste aux soins de la bouche et des dents, une vision restrictive contre laquelle entend lutter l'association. Vous pouvez vérifier plus de micro moteur portable sur matériel dentaire.



La bouche est la représentation de notre moi profond. Toutes nos évolutions de vies sont engrammées dans nos dents, comme un minéral qui garde et transmet toutes les mémoires, même transgénérationnelles. La pathologie des dents, la position des dents, la position de la mâchoire, l'occlusion dentaire, les récidives de déplacement suite à un traitement orthodontique… tout cela nous informe sur notre histoire.

Selon cette enquête, dévoilée à la presse à Paris, seuls 38% des personnes interrogées estiment que la santé des dents est un bon indicateur de la santé globale et qu'une bonne hygiène dentaire permet d'éviter des maladies graves. La méconnaissance du rôle du chirurgien-dentiste (...) est source de craintes et de croyances infondées concernant le praticien et ses soins, regrette l'association. De ce fait, plus de la moitié des Français (55%) ne se rendent pas chez leur dentiste tant qu'ils n'ont pas mal aux dents, un comportement bien éloigné des recommandations, qui préconisent une visite de contrôle une fois par an.

Sur le plan psychique, on souffre également quand notre physique souffre. La bouche est l’énergie de vie. Lorsqu'on claque des dents, une onde de choc part du point de contact entre les dents du haut et les dents du bas et circule le long de la racine dentaire. Si tout est bien positionné, l'onde énergétise le cerveau en haut et le reste du corps en bas. Si nos dents sont mal alignées, notre niveau de fréquence énergétique est perturbé et on perd alors notre énergie de vie, ce qui peut amener à de la fatigue, voire des états dépressifs. 

L'enquête révèle également d'autres freins à une visite plus fréquente chez le dentiste, comme la peur de souffrir lors des soins (31%) et la crainte des reproches de la part du praticien (15%, une proportion qui grimpe à 24% chez les moins de 35 ans). Et 15% des personnes interrogées considèrent qu'il ne s'agit pas d'une priorité pour leur santé. "On n'imagine pas toujours que le chirurgien-dentiste peut aller au-delà de la bouche, ni que la bouche peut être un indicateur de la santé en général", pointe le Dr Patrick Hescot, secrétaire général de l'ADF.





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